Il s'agit du seul site, dans les Abruzzes, où l'on ait retrouvé des traces structurelles d'un bassin baptismal paléochrétien, complètement creusé dans la roche.
Le château est mentionné pour la première fois en 1064 avec le toponyme Maccla, mais c'est à l'époque normande-souabe qu'il commence à jouer un rôle stratégique : la tradition et la légende lient en effet le nom actuel du château au roi Manfred Ier de Sicile.